Danse rock


Apprendre la danse rock, c’est tout un programme ! La danse rock connaît en effet de nombreuses déclinaisons, qui peuvent parfois prendre des allures extrêmement différentes les unes des autres.



Bien entendu, la danse rock est indissociable de la musique qu’elle accompagne : le rock’n’roll. Issu du rythm and blues de la communauté afro-américaine, le rock’n’roll commence à exister à partir des années 40 et devient un genre à part dans les années 50. En opposition aux temps troublés qu’elles traversent, la musique et la danse rock sont avant tout dédiées au divertissement : rythme entraînant et paroles légères sont de mise, on cherche à s’étourdir.

 

Danse festive par excellence, la danse rock a donc trouvé facilement son public. Et elle a semé sur son passage de nombreuses variantes. Ainsi, si la France pratique de préférence le rock à quatre et à six temps, l’Angleterre peut se targuer d’avoir inventé le rock sauté. Le bebop, qui est une autre variante du rock, a quant à lui été inventé dans les caves du quartier de Saint-Germain-des Prés à Paris, à la fin des années 40. Actuellement, la danse rock intègre également le boogie woogie, le boogie à 8 temps, le rock acrobatique et le madison.

 

La danse rock est donc polymorphe et le débutant peut être dérouté au départ lorsqu’il souhaite s’inscrire dans un cours : vers quelle discipline faut-il s’orienter ? Le plus simple, sans doute, est de faire une leçon d’essai pour se rendre compte du style de chaque variante. Il faut également savoir que la danse rock acrobatique suppose une condition physique impeccable, tandis que le bebop ou le boogie woogie s’adaptent plus facilement à une pratique « pour le plaisir ».